Devant le nombre de concurrents dans tous les domaines, il faut bien sûr s’intéresser au SEO pour tenter de bénéficier d’un minimum de visibilité naturelle par le biais de Google. Les choses deviennent compliquées aujourd’hui, mais pas impossibles. Il est cependant nécessaire d’être en veille permanente pour identifier rapidement les sources potentielles de désagrément et les corriger ou les supprimer dans la foulée.

Google Panda

Tout d’abord, avant Pingouin, Google avait mis en place ce filtre, toujours d’actualité, centré sur le site en lui-même et bien sûr sur son contenu principalement. Mais comment un robot peut-il estimer qu’un blog qui traite du judo par exemple propose un contenu de faible qualité ? Il s’appuie sur les statistiques que vous pouvez vous-même consulter dans Analytics. Un temps de visite très court de la part des internautes n’est généralement pas bon signe. Si le nom du site n’est jamais tapé dans le champ de recherche de Google, là encore c’est un point négatif. Aucune 2ème page visitée après l’arrivée de l’internaute sur une 1ère page (taux de rebond), il faut incontestablement que le webmaster se remette en question et change le contenu de ses articles.

Google Pinguin

Après l’aspect interne du site, Google a mis au point il y a maintenant quelques années (déjà la 6ème version actuellement) le fameux algorithme Pinguin, qui consiste à évaluer de la qualité des liens externes dont bénéficie le site. C’est là toute la difficulté pour le webmaster de gérer les backlinks douteux, car ils ont pu être mis en place par un concurrent. D’où la nécessité de surveiller en permanence, par des solutions certes payantes mais efficaces, le tableau de bord des liens entrants, afin de s’occuper le plus vite possible de leur extermination, afin de supprimer la pénalité pingouin. Le mieux est de faire appel à un spécialiste dans le domaine, nommé SOS Pingouin : http://www.sospenguin.com/.